Une interprofession bientôt créée pour le secteur de la pêche

Au cours de cette assemblée, les 27 délégués et les trois collèges éliront le président de l’interprofession, mettront en place le conseil d’administration et les différents organes pour le fonctionnement de la structure.

Les organisations interpersonnelles ont pour mission la coordination des activités de leurs membres par l’établissement de règles contractuelles entre ceux-ci concernent notamment la fixation des prix, la définition des normes qualité, l’instauration de cotisations volontaires obligatoires de manière générale, la défense des intérêts communs de leurs membres ainsi que leur représentation collective auprès de l’Etat et des tiers.

En Côte d’Ivoire, le secteur halieutique dans son ensemble génère près de 100 000 emplois directs et plus de 400 000 emplois indirects. Malheureusement, la plupart de ces emplois demeure dans l’informel quoiqu’ils contribuent à hauteur de 3,2% du Produit intérieur brut (PIB) agricole et de 0,8% du PIB total.Les professionnels du secteur de la pêche vont organiser samedi 18 mars 2023 à Abidjan, une assemblée générale pour mettre en place leur interprofession.

Au cours de cette assemblée, les 27 délégués et les trois collèges éliront le président de l’interprofession, mettront en place le conseil d’administration et les différents organes pour le fonctionnement de la structure.

Les organisations interpersonnelles ont pour mission la coordination des activités de leurs membres par l’établissement de règles contractuelles entre ceux-ci concernent notamment la fixation des prix, la définition des normes qualité, l’instauration de cotisations volontaires obligatoires de manière générale, la défense des intérêts communs de leurs membres ainsi que leur représentation collective auprès de l’Etat et des tiers.

En Côte d’Ivoire, le secteur halieutique dans son ensemble génère près de 100 000 emplois directs et plus de 400 000 emplois indirects. Malheureusement, la plupart de ces emplois demeure dans l’informel quoiqu’ils contribuent à hauteur de 3,2% du Produit intérieur brut (PIB) agricole et de 0,8% du PIB total.