
L'article exprime des préoccupations face à cette initiative. Le terme « Ziguéhis » est historiquement lié à la violence de rue, et l'auteur de l'article estime que confier la sécurité des campus à un tel groupe est une décision risquée. Selon l'article, cette responsabilité incombe aux forces de l'ordre, à savoir la police et la gendarmerie.
Cette démarche est vue comme un précédent dangereux qui pourrait normaliser l'ingérence de groupes non officiels dans les universités et pendant les élections, ce qui pourrait potentiellement mener à la violence et à l'intimidation. L'auteur de l'article rappelle les crises post-électorales de 2010 et 2020 en Côte d'Ivoire, et conclut que seule une approche républicaine et institutionnelle peut garantir une paix durable.
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