
Épilogue du conflit qui opposait la Société d’appareillage ménager africain d’Orium service (Amaos) à la Société de promotion immobilière Ciad Primo. La Cour suprême a déclaré irrecevable la demande de sursis à statuer de la Ciad primo ainsi que son recours en cassation contre l’arrêt n°448 du 2 juillet 2015.
Une décision favorable à Kouassi Koffi Félix, patron du groupe Amaos, qui a toujours défendu avoir racheté l’opération immobilière lancée dans les années 1990 par Babily Dembélé et qui se trouvait bloquée parce que beaucoup d’acquéreurs des logements sociaux ne pouvaient plus honorer leurs engagements. Ayant donc hérité des actifs et des passifs de l’opération, Kouassi Félix jouit du droit sur les créances à recouvrer.
(Source : Fraternité Matin)
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