Elle est entrepreneure et avec ses start-up, notamment son commerce de pagnes ‘’Nanawax’’ et ses gains de l’immobilier où elle exerce également, Maureen Ayité est dans la cour des grandes femmes d’affaires.
Etre à ce niveau social nécessite un énorme acharnement au travail et des années de privation comme elle l’a confié à Phillipe Simo dans un podcast sur l’entrepreneuriat. Mais s’agissant du travail, Maureen Ayité s’est voulue fataliste sur les retombées travail/richesse. Doit-on travailler pour devenir riche ? La jeune entrepreneure n’y croit pas de façon absolue :
‘’…je ne vais pas dire de travailler parce qu’il y a pleins de gens qui travaillent mais qui n’arrivent pas à avoir de l’argent, donc je n’ai vraiment pas de réponse à cette question, parce que c’est vrai on dit de travailler dur, il y a pleins de gens qui travaillent dur, il y a pleins de dames qui vendent depuis des années sous le soleil, les gars qui poussent des…centaines de kilos tous les jours, ils peuvent faire ça jusqu’à la fin de leur vie mais peut-être qu’ils n’auront jamais d’argent…c’est Dieu qui donne..’’.
Dans les propos de Maureen Ayité, elle met l’accent sur la dimension fataliste de la vie selon laquelle les événements qui arrivent aux hommes sont irrévocablement fixés à l’avance par une cause unique et surnaturelle. Cela n’exclut toutefois pas qu’il faille travailler car le travail demeure avant tout une institution sociale.
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