Sécurité nationale: Ces faits à ne plus revivre

La fin de 2016 c’est dans quelques jours. Il ne reste que trois jours pour mettre pied dans l’année 2017. En terme de sécurité nationale, beaucoup de chose à été réalisée. Des faits ont entaché ce bilan positif. C’est le cas l’attaque terroriste de Grand-Bassam qui a eu lieu le 13 mars 2016 dans un quartier touristique de la station balnéaire. Il y a eu 19 morts.

 Fin mars, il y a eu aussi des affrontements sanglants   dans la région de Bouna, entre, d’un côté les agriculteurs Lobi, et de l’autre, les éleveurs Koulango-Peulh. Le bilan officiel fait état de 33 morts, 52 blessés, et 2 640 déplacés. Le 31 mars à Vavoua il y a eu des affrontements entre populations et gendarmerie.  La brigade locale avait été attaquée et incendiée par des centaines d’individus en colère et munis d’armes blanches et de gourdins.

Le 9 mai, deux personnes ont été tuées et deux autres portées disparues dans un affrontement à Assuéfry, dans le département de Transua, entre des militaires et des jeunes qui tentaient de convoyer illicitement une cargaison de noix de cajou au Ghana voisin.

En novembre, encore à Bouna, deux gendarmes ont été tués au cours d’une révolte des populations.  En Décembre, l’explosion d’une grenade dans une station-service  à Yopougon a fait un blessé.

Des faits qui ne doivent plus se répéter en Côte d’Ivoire. Les autorités ivoiriennes sont averties.