Effectivement, le 14 février 2025, le pays a formalisé une collaboration importante dans le but de révolutionner sa filière cajou, établissant ainsi un changement significatif dans sa stratégie agricole.
Le pacte conclu entre le Conseil du coton et de l'anacarde et la SOGEDI envisage la gestion de trois zones agro-industrielles situées stratégiquement à Korhogo, Bondoukou et Séguéla.
Ces infrastructures, qui s'étendent sur plus de 50 hectares, symbolisent un investissement majeur pour le futur de ce secteur.
Ces infrastructures, qui devraient avoir une capacité de traitement de 150 000 tonnes d'ici 2026, ont pour objectif de diminuer considérablement l'exportation de matières premières non transformées.
Ces infrastructures, qui devraient avoir une capacité de traitement de 150 000 tonnes d'ici 2026, ont pour objectif de diminuer considérablement l'exportation de matières premières non transformées.
Ainsi, la stratégie ivoirienne fait de la transformation locale son principal axe d'action.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a mis en avant l'objectif du pays : réaliser une transformation locale de 50% de sa production d'ici à 2030.
Ces zones industrielles récentes, de véritables écosystèmes indépendants, disposent d'infrastructures à la fine pointe : des réseaux électriques efficaces, des systèmes logistiques actuels et des installations de traitement sur mesure.
En 2023, avec une production sans précédent atteignant 1,22 million de tonnes et déjà 867 528 tonnes pour le premier semestre de 2024, le pays réaffirme sa suprématie sur la scène internationale.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a mis en avant l'objectif du pays : réaliser une transformation locale de 50% de sa production d'ici à 2030.
Ces zones industrielles récentes, de véritables écosystèmes indépendants, disposent d'infrastructures à la fine pointe : des réseaux électriques efficaces, des systèmes logistiques actuels et des installations de traitement sur mesure.
En 2023, avec une production sans précédent atteignant 1,22 million de tonnes et déjà 867 528 tonnes pour le premier semestre de 2024, le pays réaffirme sa suprématie sur la scène internationale.
Cette démarche récente illustre le désir de la Côte d'Ivoire de ne pas se limiter à être un simple leader en production, mais plutôt de se positionner comme un acteur clé dans la transformation, générant ainsi plus de valeur ajoutée sur son territoire.
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