Un autre cas d’agression concerne une commerçante qui a été poignardée le 14 juin, entre 4h et 5h du matin, au quartier Kounahiri 2, non loin du marché, alors qu’elle s’apprêtait à faire sa prière avant de se rendre au marché pour vendre ses marchandises.
Elle a eu la vie sauve, mais l’agresseur a emporté son téléphone et tout ce qu’elle avait en sa possession. “On a très peur. On commençait à reprendre confiance après l’arrestation de l’agresseur qui a semé la terreur en décembre et voilà que cela recommence”, s’est inquiétée une gérante de kiosque prénommée Alima.
“Nous demandons aux autorités préfectorales d’accélérer le processus d’installation de la brigade de gendarmerie promise. La ville devient de plus en plus dangereuse”, a ajouté un professeur d’anglais, Kouadio Désiré.
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