
Les enquêtes impliquent divers acteurs publics, dont des magistrats, des agents de santé, des douaniers et même d’anciens ministres soupçonnés de blanchiment et d’enrichissement illicite. Un accent particulier a été mis sur la fraude aux diplômes : sur environ 6 000 documents vérifiés dans plusieurs ministères, plusieurs se sont révélés non authentiques, entraînant des révocations et des poursuites judiciaires.
Le Capitaine Sorgho a rappelé que ces dérives affaiblissent une administration déjà fragilisée par le contexte sécuritaire. Il a exhorté les citoyens à signaler toute pratique suspecte et assuré que les dossiers déboucheront sur des sanctions administratives et judiciaires.
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